Indemnisation d’un traumatisme crânien : que faut-il savoir à ce propos ?

Les conséquences après un accident de route sont multiples et quelques fois très graves. En effet, outre le fait que l’on peut facilement y passer de vie à trépas, il est aussi possible de se prendre des séquelles pour la vie. Dans le cas d’un traumatisme crânien par exemple, il est toujours conseillé de chercher à se faire indemniser pour pouvoir accompagner les dépenses liées aux probables traitements. Qu’est-ce que c’est qu’un traumatisme crânien et quels peuvent en être les différents degrés ? Comment peut-on défendre l’indemnisation d’une victime d’un traumatisme crânien ? Voici quelques éléments de réponse.

Traumatisme crânien et indemnisation

Le traumatisme crânien se définit habituellement comme étant le dysfonctionnement cérébral résultant de l’action d’une force extérieure sur le complexe crânien. Il s’agit généralement de l’application d’un coup violent à la tête. Les lésions cérébrales traumatiques peuvent aussi avoir plusieurs autres origines notamment une blessure sportive grave ou une noyade. Dans l’un ou l’autre des cas, la victime directe ou indirecte se prend un choc dont l’impact est relatif à sa sensibilité (crânienne et mentale).

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L’indemnisation du traumatisme crânien est par suite une tâche extrêmement difficile surtout lorsque le processus n’est enclenché que par la victime ou que par sa famille. En réalité, il existe bon nombre d’exigences à remplir avant de pouvoir être justement indemnisé. Aussi, plusieurs volets juridiques quelques fois très complexes y sont inclus. Faites-vous toujours donc assister par des professionnels en la matière pour que vos droits ne soient pas violés. Sur ce site par exemple, des avocats spécialisés dans la réparation du préjudice et impliqués sont prêts à vous aider.

Degrés d’un traumatisme crânien

Le quota d’indemnisation s’évalue relativement au degré du traumatisme. Celui-ci se répartit généralement en trois niveaux que sont :

Le traumatisme crânien léger

Le traumatisme crânien léger correspond à une perte de connaissance ayant une durée maximale d’une heure. Dans ce cas, même si le patient se voit endurer une amnésie post-traumatique, elle n’excède habituellement pas 24 heures. Aussi, pour le plus souvent des cas, les patients récupèrent assez rapidement (en quelques mois) et ne gardent pas de séquelles. L’indemnisation peut être inexistante (en cas de manque de preuves) ou insignifiante.

Le traumatisme crânien modéré

C’est le niveau intermédiaire entre le traumatisme crânien et celui sévère. Ici, la gravité du traumatisme se détermine en fonction de deux éléments : la durée de la perte de connaissance et la profondeur du coma. Les séquelles et l’indemnisation sont dans ces cas de figure plus importantes.

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Le traumatisme crânien sévère

L’indemnisation d’un traumatisme crânien sévère est certes très importante, mais les séquelles y rattachées sont quasi-éternelles. Les résultats de ce traitement sont lents et le patient peut passer plusieurs jours dans le coma.

Procédures d’indemnisation du traumatisme

Les parents d’une victime directe ou indirecte d’un accident conduisant à un traumatisme crânien se doivent de s’attacher les services d’un médecin expérimenté en traumatisme. Celui-ci sera chargé de la détermination juste du niveau de traumatisme. À cette suite, les avocats devront être sollicités pour l’enclenchement du processus juridique.

N’oubliez pas qu’il vous faut tout d’abord prendre du recul afin de ne pas oublier toutes les conséquences de l’accident. Vous vous en servirez plus tard pour prouver le fondement de votre réclamation et la véracité de vos dépositions.